Cette semaine, le challenge est de ralentir en  prenant son  temps tout simplement…

Après avoir vu de façon exhaustive la théorie dans l’ article « Cross21: La procrastination est un cadeau ( apprendre à ne rien faire) », maintenant place à la pratique …

Abordons le sujet de la procrastination non plus comme un problème mais comme un besoin de notre cerveau; prendre un temps de pause.

Faire un bilan de notre vie à cet instant; un moment d’introspection et de retour en soi.

Voyons cela avec un regard de bienveillance et positif envers nous-mêmes et cessons de nous mettre la pression telle une cocotte-minute prête à exploser.

1/ La technique

Repérer chaque jour, deux moments où vous aimeriez vous accorder un instant de calme;  en matinée, après midi ou soirée .

Il peut s’agir de courts instants de quelques minutes ou bien de véritables plages horaires possibles après les repas par exemple.

Pendant ces périodes, noter le temps accordé à ce retour au calme et de quelle manière il s’est effectué ; l’effet qu’ont sur vous l’observation d’un paysage, une marche dans les rues, rester assis à une terrasse de café, méditer en pleine conscience, …

Chaque soir pendant une semaine, écrivez pour chaque instant ce qui s’est passé et comment vous l’avez ressenti.

Identifier également les circonstances favorables à la mise en place de ce temps calme , le rôle que vous avez pu y jouer et comment vous pourriez le reproduire.

2/ Les résultats

• Abaisser le stress lié « charge mentale » évoquée dans l’article « #cross21 : La procrastination est un cadeau ( apprendre à ne rien faire) »,
• augmentation du sentiment de bien-être,
• diminution des symptômes du « Burn out ».

3/le mécanisme

1. Cet exercice permet de mieux équilibrer notre espace mental et émotionnel, s’accorder du temps à un retour en soi auquel on ne donne pas assez de place et la pathologie du travail et de l’action qui a tendance à en prendre trop.
2. Puis, il rend plus évident les temps calmes qui renforcent notre capacité de les savourer et de les installer de façon pérenne sur le long terme.
3. Enfin, il s’ agit d’identifier notre perception du besoin  de ralentir qui favorise notre sentiment de bien-être et de complétude.

4/Aller plus loin

L’exercice est encore plus puissant si vous le continuez au-delà d’une semaine. Vous pouvez également partager ce que vous avez repéré de changements positifs avec d’autres personnes.

Enfin, je vous invite à partager vos expériences respectives afin de s’ enrichir par vos retours.

Je vous souhaite une  belle semaine,

Stéphanie Rubio.